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Les transactions internationales restent toujours un défi. Mais incard cherche à changer cela en proposant des solutions 100 % sur mesure aux entrepreneurs en ligne sur les marchés français et britannique.
L’invité d’aujourd’hui, Théo Cesarini, cofondateur et PDG d’incard, parle de la marque incard et de l’évolution du paysage français dans les deux ans qui viennent.
Dans cet épisode, nous aborderons :
- Les problèmes rencontrés par les clients incard et les entreprises de la Fintech en général
- Ce qui rend incard unique
- Comment le paysage français de la Fintech évolue
- Le choix de la France et du Royaume-Uni pour lancer incard
Explorons davantage la situation des Fintechs françaises et britanniques avec notre invité exceptionnel.
« J’ai été vraiment choqué par le manque d’offres financières adaptées aux besoins des clients. » — Théo Cesarini
Adaptation aux besoins du commerce électronique
Théo a toujours été poussé par l’esprit d’entreprise, en particulier chez ceux qui innovent par le biais d’une boutique en ligne ou des réseaux sociaux. Il s’est rendu compte que malheureusement, ces entrepreneurs étaient souvent mal desservis par leurs établissements financiers, ce qui freinait leur croissance.
Les blocages, les gels de compte et l’impossibilité d’accéder aux données commerciales vitales étaient monnaie courante. Les chefs d’entreprises de commerce électronique n’étaient pas traités sérieusement, et ses clients internationaux avaient notamment de sérieux problèmes avec les transactions internationales.
Grâce à un partenariat avec Currencycloud, Théo peut désormais offrir une solution financière compétitive qui facilite les transferts de fonds internationaux et la conversion automatique des devises à des taux favorables.
« Le marché français regorge d’entrepreneurs individuels et de PME. » — Théo Cesarini
Un changement dans les attentes des clients
incard sera une super application financière pour les créateurs, les entrepreneurs du commerce électronique et les influenceurs des réseaux sociaux. Grâce à un écosystème robuste, Théo fournira un tableau de bord avec des informations en temps réel et des indicateurs clés.
Les attentes des clients Fintech ont rapidement évolué. Au lieu d’un service générique, les marques souhaitent désormais un service de niche, une solution personnalisée unique répondant à leurs besoins spécifiques.
Théo aspire à ce qu’incard aille bien au-delà de la banque traditionnelle et permette aux marchands en ligne de développer leurs activités de manière exponentielle.
Les entrepreneurs individuels ou « solopreneurs » apprécieront tout particulièrement la fonctionnalité de guichet unique d’incard.
« L’une des principales raisons pour lesquelles nous avons choisi le Royaume-Uni est que tout le monde utilise des comptes multidevises. » — Théo Cesarini
Évolution du marché de l’UE
En raison du Brexit et de la pandémie, les marchés du Royaume-Uni et de l’UE changent constamment. Théo estime que le départ du Royaume-Uni de l’Union européenne créera de vastes opportunités nouvelles, tant en France qu’au Royaume-Uni.
De nombreuses petites entreprises sont de plus en plus numérisées et souhaitent gérer leurs activités entièrement en ligne à la suite de la pandémie et de ses conséquences. Les voyages en Europe reprennent, le commerce électronique se développe rapidement dans cette région et les entrepreneurs ont besoin de plus d’options financières.
C’est le moment idéal pour Théo et incard de livrer un produit conçu pour répondre aux besoins spécifiques de l’économie numérique mondiale.
« Pour nous, la prochaine étape reste toujours la France. C’est un marché en pleine croissance pour les entreprises de la Fintech. Il existe un écart énorme dans le secteur B2B, et pour toutes les PME et les entrepreneurs individuels. De plus en plus de ces entreprises sont en ligne, elles ont donc de plus en plus de problèmes avec leurs partenaires financiers. » — Théo Cesarini
L’avenir de la Fintech
En France, les capacités de transactions rapides multidevises sont actuellement insuffisantes. Théo a donc choisi de se lancer d’abord au Royaume-Uni, le marché le plus avancé de la Fintech. La bureaucratie y est un peu plus facile à gérer qu’elle ne l’est de ce côté-ci de la Manche.
Les sociétés de capital-risque et même les établissements bancaires français traditionnels, de la vieille école, s’intéressent désormais aux entreprises de la Fintech dans une optique d’investissement. La Suède se réveille également et prend conscience des possibilités de croissance sur ce marché spécialisé.
Théo est sur le point de prendre d’assaut le secteur européen des services de commerce électronique, après avoir créé en moins d’un an une solution Fintech prometteuse pour les entrepreneurs en ligne. Restez à l’écoute sur d’autres avancées proposées par ce jeune innovateur dynamique.
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